Les installations sont complétées en 1910 par une écrémeuse centrifuge puis en 1932 par une machine frigorifique pasteurisatrice d’une puissance de deux mille litres à l'heure.
La composante en quadrature permet une compensation série indépendante dans chaque ligne, alors que la composante en phase définit le niveau de puissance active échangée avec les autres lignes.